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​​​​​​​Présentation de l'archidiocèse

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L'archidiocèse de Gatineau est l'une des 21 circonscriptions de l'Église catholique romaine au Québec (61 dans l'ensemble du Canada). Fondé en 1963 par séparation d'avec l'archidiocèse d'Ottawa, il recouvre presque l'ensemble de la région administrative de l'Outaouais. Il comprend 51 lieu de cultes dont la plupart sont de langue française, quelques-unes de langue anglaise et deux de langue portugaise. (Notons que la messe est aussi célébrée en espagnol à la cathédrale St-Joseph.) Les rubriques de cette section vous feront connaître un peu plus notre réalité.

Statistiques 2019

Le territoire de l'archidiocèse de Gatineau comprend la MRC de Papineau, la ville de Gatineau et plusieurs municipalités environnantes.

La population qui réside sur ce territoire s'élève à 363 814.

De ce total, 261 946 s'identifient comme catholiques (72%). 

 

 

Paroisses :   

45               

 

Prêtres de 1 paroisse : 

 

13

Dessertes/Missions :    

6

 

Prêtres de 2 paroisses : 

 

8

Ass. publiques de fidèles : 

2

 

Prêtres de 3 paroisses : 

 

4

Unités pastorales : 

5

 

Prêtres de 4 paroisses : 

 

3

Zones françaises :  

4

 

Prêtres de 5 paroisses : 

 

1

Zone anglaise : 

1

 

Prêtres de 6 paroisses : 

 

1

 

 

 

 

Prêtres présents dans le diocèse :      

59

Prêtres séculiers :

41

Prêtres religieux : 

16

Prêtres d’Institut séculier :  

2

Prêtres séculiers en paroisse : 

20

Prêtres religieux en paroisse : 

11

Prêtres séculiers retraités : 

19

Prêtres séculiers - autres responsabilités qu’en paroisse : 

5

Prêtres incardinés dans l'archidiocèse de Gatineau:   

21

Prêtres diocésains provenant d'autres pays:   

17

Prêtres décédés

4

Diacres permanents :   

4

 

 

 

En 2019, pour l’ensemble des paroisses et dessertes du diocèse de Gatineau, il y a eu :


 

Baptêmes :   

667

Premières Communions :        

381

Confirmations :    

388

Mariages : 

97

Funérailles :  

1 040

Dans les paroisses :   

727

Aux Jardins du souvenir :  

313

Sépultures :  

1398

Dans les cimetières paroissiaux :  

542

           Dans les cimetières des Jardins du souvenir

856

 

Explications du logo diocésain

 

 
  • Le logo diocésain original a été créé en 1991. Depuis, il a été rafraîchi à quelques reprises. Il se veut en quelque sorte la signature publique de l'archidiocèse de Gatineau, un outil de communication qui favorise un esprit d’appartenance commune des fidèles de la région. 
  • L ’arbre stylisé représentant l'arbre de vie.
  • L'arbre fait également le lien avec les origines de la région de l'Outaouais où l'industrie du bois a  occupé une place importante.
  • La croix est le symbole de la foi chrétienne et un symbole rassembleur.
  • Les flammes du buisson ardent symbolisent les diocésains et diocésaines, les paroisses et unités pastorales.  Ensemble, les flammes forment une Église locale unie et solidaire, soit l'Église diocésaine de Gatineau.
  • Les flammes représentent également un mouvement vers l'extérieur, vers la communauté outaouaise.  L'Église de Gatineau est là pour annoncer l'Évangile et donner des mains et des pieds à notre foi en Jésus.
  • Les 7 flammes rouges (noires dans la version noir et blanc) représentent les 7 jours de la semaine et les 12 flammes oranges (grises dans la version noir et blanc) représentent les 12 mois de l'année.
  • Les chiffres 7 et 12 sont des chiffres bibliques représentant respectivement la plénitude spirituelle (Lév. 4 : 6; Héb. 2 : 4) et les 12 tribus d’Israël, ainsi que les 12 apôtres.
Explications des armoiries 

 

  • Les armoiries remontent à la fondation du diocèse en 1963.
  • Devise : Dans le Christ, nous avons la Rédemption.
  • La croix : Symbole de la Rédemption.
  • Les trois fleurs de lys : Représentent la Province de Québec.
  • La tour : Symbole de l’origine française.
  • Les lignes ondulées : Représentent la rivière des Outaouais

La cathédrale

La cathédrale est l'Église propre de l'évêque diocésain. À ce titre, elle est l'église-mère du diocèse, le lieu des grands rassemblements et des célébrations importantes pour la vie diocésaine. Elle prend son nom du siège de l'évêque, aussi appelé « cathèdre ». Ce siège est un signe tangible de l’unité des croyants d'une région qui partagent la même foi enseignée par l’évêque en tant que pasteur de son troupeau. Saint Joseph est le titulaire de la cathédrale de l'archidiocèse de Gatineau, sise au 245 boulevard St-Joseph dans cette même ville. Elle est caractérisée par son agencement particulier (les bancs entourent le sanctuaire de tous les côtés) ainsi que par ses admirables verrières des cycles de la Nativité et du mystère pascal, ainsi que des saints patrons de l'archidiocèse.

La patronne diocésaine - Marie, mère de l'Église

La bienheureuse Vierge Marie, Mère de l'Église

Le pape Paul VI a utilisé cette expression dans la promulgation de l’encyclique Lumen Gentium : « C’est donc à la gloire de la bienheureuse Vierge et à notre réconfort que Nous proclamons Marie très sainte, Mère de l’Église. » Au discours de clôture du Concile Vatican II, le 7 décembre 1965, Paul VI a répété le titre de « Mère de l’Église ». Par cet acte solennel du magistère suprême, le Pape voulait affirmer « la fonction maternelle que la Vierge exerce envers le peuple chrétien ». Il souhaitait ainsi, tel que l’a demandé le Concile, promouvoir la « piété filiale » de tous les membres de l’Église envers la mère de Jésus, qui nous fut donnée comme mère lorsque Jésus dit à Jean sur la croix : « Voici ta mère ».

Parfaite disciple de Jésus et incarnation vivante des Béatitudes, Marie est pour nous « un modèle achevé du disciple du Seigneur: artisan de la cité terrestre et temporelle, mais pèlerin qui se hâte vers la cité céleste et éternelle; promoteur de la justice qui délivre l'opprimé et de la charité qui porte secours aux nécessiteux, mais par-dessus tout, témoin actif de l'amour qui édifie le Christ dans nos coeurs. » (Paul VI, Marialis cultus, no 37).

Marie, Mère de l’Église, est la patronne de notre diocèse. Il a été décidé que sa célébration soit fixée au 11 octobre dans notre calendrier liturgique diocésain, même si cette date demeure un jour férié dans le calendrier universel. Un peu d’histoire peut aider à justifier ce choix.

En 1931, le pape Pie XI avait institué la fête de « La maternité divine de Marie » en commémoration du quinzième centenaire de l’ouverture du Concile d’Éphèse qui avait déclaré Marie, Mère de Dieu. Le Pape Jean XXIII a choisi cette même date pour ouvrir le Concile Vatican II en 1962, plaçant ainsi le Concile sous la protection de la Sainte Vierge.

En 1974, lors d’un réaménagement du calendrier liturgique de l’Église universelle, le Pape Paul VI a déplacé la fête de la maternité de Marie du 11 octobre au 1er janvier, sous le vocable « Marie, Mère de Dieu », renouant ainsi avec une antique tradition romaine.

En choisissant de fêter Marie, Mère de l’Église le 11 octobre, notre diocèse commémore l’ouverture du Concile Vatican II, tout en rappelant sa propre fondation durant ce même Concile, le 27 avril 1963. Marqué dès son origine par les grandes orientations de Vatican II, notre diocèse est dépositaire d’un trésor inaliénable et d’une source de vitalité sans cesse active. Marie nous ramène, par-delà toutes les questions de structures ou juridiques, à l’essence intime et essentielle de l’Église, car elle est notre mère dans l’ordre de la grâce, du lien avec Jésus, de la foi, de l’espérance et de l’amour.

En 2018, le pape François a institué la Mémoire obligatoire de la Vierge Marie, Mère de l'Église le premier lundi après la Pentecôte. Ce décret fut signé le 11 février. La Bienheureuse Vierge Marie, Mère de l'Église étant notre patronne principale, nous pouvons la fêter le 11 octobre, excepté quand la fête tombe un dimanche..

Les jalons de notre histoire:  1963-1997

Cette première page d’histoire de notre Église de Gatineau-Hull se veut un exercice pour éveiller notre mémoire collective en retraçant des projets, des faits et des événements marquants des 35 années de l’histoire de notre Église.  La lecture de cette brochure pourrait aussi réactiver votre propre mémoire et ainsi enrichir cette édition. N’hésitez pas à nous communiquer vos réactions et à nous signaler les oublis, les erreurs et les améliorations souhaitées.

“Jésus a fait encore bien d’autres choses : si on les écrivait une à une, le monde entier ne pourrait, je pense, contenir les livres qu’on écrirait.”  (Jean 20, 25)

“Personnellement, lorsque j’ai été nommé évêque de Hull, en pleine période du Concile Vatican II, j’ai immédiatement discerné dans cet appel du Seigneur - sans prétention, je l’espère - une mission “originale” dans son sens propre, c’est-à-dire, une mission qui devrait servir de modèle.  Je n’y ai pas vu là un simple hasard, une pure coïncidence. J’y ai vu, dans la foi au Christ et en l’Église que j’aime, la mission d’être sans doute le pasteur d’un nouveau peuple et aussi la mission d’être l’évêque d’une Église qui se devait - plus que les autres Églises - d’être une Église-de-printemps, une Église de rajeunissement, une Église de Tradition bien comprise, une Église invitée au courage, selon les belles expressions du Pape Paul VI.”

Mgr Paul-Émile Charbonneau
L’Église de Hull 1963-1971, collection “Église de Hull”, 27 avril 1971.

 

“Mon inquiétude, c’est que nos chrétiens deviennent sourds et aveugles. À ce moment, leur salut est en danger. Car voyez-vous, les pauvres et les sans-voix sont la route de notre salut. Mais pour cela, il faut les aimer, les aimer assez pour risquer de perdre sa réputation. Les aimer assez pour désirer d’un vouloir dynamique que notre société change pour mieux les accueillir.”

Mgr Adolphe Proulx
Une voix pour les sans-voix, Éditions Novalis, p. 149, 1987.

 

 

“Nous sommes un peuple en marche. Le jour où nous nous installerons pour ne plus repartir, ce sera notre mort.”

“Nous sommes habités par une force puissante.  Car c’est à nous que Jésus ressuscité ne cesse de dire: “Comme le Père m’a envoyé, moi aussi je vous envoie.” C’est sur nous que vient sans cesse le Souffle de l’Esprit de renouveau et de vie.”

“Nous sommes en mission et le jour où nous l’oublierons, nous tournerons en rond. Cette mission, nous avons nous aussi à la vouloir à nouveau de saison en saison.”

“Nous sommes un peuple dont chaque membre est appelé à “sentir” sa place, à la vouloir, à l’occuper dans la conscience de sa dignité et de sa mission.”

Mgr Roger Ebacher
L’Évangile pour l’Outaouais, septembre 1992.

Historique

Chroniques Historiques (Cliquer ici)

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Arbre généralogique de la naissance des paroisses

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L’Outaouais avant 1847

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Les deux premiers évêques (Guigues et Duhamel)

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Les paroisses de la Petite-Nation (souche N.D.-de-Bonsecours)

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Les paroisses de la Lièvre (souche St-Grégoire-de-Nazianze)

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Les paroisses de la partie sud-ouest (souche St-Paul d’Aylmer)

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Les paroisses de la Gatineau (souche Saint-François-de-Sales)

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La période de l’industrialisation

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La période de l’industrialisation

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